Nos nouvelles frontières

Guillaume Herbaut, un groupe d'adultes allophones à Givors, un groupe d'adultes et de jeunes à Valence

  • Exposition

21.10 - 14.11.2021

  • Valence

© Salim

AU CENTRE DU PATRIMOINE ARMÉNIEN DE VALENCE

DÉCOUVRIR L'ŒUVRE COLLECTIVE À L'ORIGINE DE L'EXPOSITION

Exposition en partenariat avec Le Centre du Patrimoine Arménien de Valence.

Intervention portée par Stimultania et le CPA, dans le cadre du programme national d’ateliers de transmission et de pratique photographique Entre les images développé par le Réseau Diagonal soutenu par le Ministère de la Culture.

Intervention inscrite au sein du programme Faire faces porté par Stimultania sur Givors en 2021, soutenu par l’Agence nationale de la cohésion des territoires, la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Auvergne-Rhône-Alpes et la ville de Givors.

Entre janvier et mars, le photojournaliste Guillaume Herbaut a travaillé avec des hommes et des femmes, à Givors et à Valence, autour de la thématique de la frontière dans un contexte de crise sanitaire. Les groupes ont observé, dans les deux villes, les “nouvelles” limites, les “nouveaux” espaces de vie, du quotidien. Une interrogation sur ce que la situation sanitaire est venue bouleverser ou remettre au goût du jour (frontières intimes, politiques, géographiques).

Quatorze séries singulières ont été produites et mises en espace par les équipes du CPA, de Stimultania et par Guillaume Herbaut. Elles sont présentées aux côtés de l’exposition personnelle de l’auteur intitulée “Orages”.

CYCLE DE PODCASTS

“Nos nouvelles frontières” est un cycle de podcasts co-réalisés par Stimultania Pôle de photographie et le CPA, Centre du Patrimoine Arménien de Valence, en écho au projet photographique mené par Guillaume Herbaut avec deux groupes de personnes volontaires, à Valence et à Givors, en janvier et mars 2021.


Né en 1970 Guillaume Herbaut est photo reporter. Avec trois de ses congénères il fonde le collectif L’œil Public en 1995 qui devient un symbole du photoreportage. Rapidement reconnu en France et à l’international, Guillaume Herbaut se confronte à des thématiques difficiles, souvent tragiques : la guerre, la mémoire, la déforestation, les crises nationales et mondiales. Son travail est récompensé par de nombreux prix dont le prix Niepce en 2011 pour son enquête photographique sur la Zone interdite de Tchernobyl.