John Daniell, série Sortie de match, 2006 © Denis Rouvre

“La photographie révèle une violence vécue par le personnage. Son cadrage rapproché et sa lumière incisive laissent apparaitre un homme morcelé, voire isolé. Les traces apparaissent crescendo jusqu’à habiter son public. Elles se manifestent par la sueur, les cicatrices, la tension du regard, tout partout, l’un dans l’autre. Provocant une émotion et interrogeant sa propre histoire.”

Médiateurs culturels, musée de la faïence, Sarreguemines, septembre 2019.