Erdöbenye, Hongrie, 1979 © Pentti Sammallahti


« Il y a là un sentiment prégnant, empreint d’un désespoir qui s’installe dans l’ère du non-retour. Lentement, sûrement, mais qui ne lâche pas prise. Nous demeurons happés, dévorés par l’idée d’un vide que l’on retrouve pourtant ; dans les regards et dans l’absence, dans ce qui n’est pas dit mais qui hurle. Ces visages sans âme dénoncent sans mots. »

Emmanuelle.
Septembre 2017, Stimultania, Strasbourg (67)